Nous appeler : 09 70 72 34 06

144 avenue Thiers 33100 Bordeaux

Du lundi au jeudi : 8h à 18h30

Le vendredi : 8h à 18h00

Notre FAQ

Questions sur les consultations

Il y a 3 possibilités :

  • Sur doctolib
  • Par téléphone en contactant notre secrétariat au 09 70 72 34 06,
  • Directement en vous déplaçant au secrétariat du cabinet, aux horaires d’ouverture.

Nous vous recommandons d’apporter pour une meilleure prise en charge médicale :

  • Vos précédentes ordonnances de lunettes,
  • Vos précédentes ordonnances de lentilles, à défaut vos boîtes de lentilles,
  • Vos ordonnances de traitements (ophtalmologiques et généraux),
  • Les résultats de votre dernière prise de sang (HbA1c notamment chez les patients diabétiques),
  • Les résultats d’imagerie (IRM, scanner),
  • Votre précédent dossier ophtalmologique si vous étiez suivi chez un confrère,
  • La liste de vos allergies.

Vous devez vous munir des documents administratifs suivants

  • Votre carte vitale à jour,
  • Si vous êtes bénéficiaires de la CMU ou de l’AME, votre justificatif vous sera demandé pour l’inscription au secrétariat,
  • Une autorisation parentale pour les mineurs non accompagnés.

1/ Accueil patient
Les patients sont accueillis par notre équipe de secrétaires, qui créent informatiquement votre dossier et le transmette au reste de l’équipe. 

Pensez à venir avec votre carte vitale à jour et, si vous êtes bénéficiaire d’un régime particulier, de votre attestation.
Les personnes mineures doivent être accompagnées, ou bien venir avec une autorisation parentale.

2/ La pré consultation
Les patients sont ensuite reçus par un orthoptiste. 

L’orthoptiste réalise un interrogatoire avec votre motif de consultation et vos antécédents.

Il effectue ensuite une série de mesures : votre acuité visuelle avec et sans correction, la mesure de pression intra oculaire. Il réalise un examen oculomoteur de dépistage.
En fonction de ces premiers résultats, l’orthoptiste réalisera les examens complémentaires adaptés.

3/ La consultation ophtalmologique 

Il s’agit de la consultation médicale.
L’ophtalmologiste reprend l’examen réalisé par l’orthoptiste.

Il assure un examen clinique complet, établit un diagnostic, définit la prise en charge adaptée, et réalise les prescriptions nécessaires.

4/ Sortie du patient
Les patients reviennent au secrétariat afin de procéder au règlement de la consultation et à la télétransmission à votre centre de sécurité sociale.

Votre prochain rendez-vous vous sera proposé en cas de suivi.

En temps normal, prévoyez une heure de l’inscription au secrétariat, à la sortie Néanmoins, ce temps peut varier selon le motif de consultation ou la nécessité de réaliser un fond d’œil dilaté. La qualité des soins est notre principale priorité.

L’orthoptiste est un professionnel de santé paramédical. Les fonctions de l’orthoptiste sont le dépistage, la rééducation, la réadaptation et l’exploration de la fonction visuelle.
Au sein du cabinet, les orthoptistes exercent en équipe avec les ophtalmologistes. Classiquement, vous serez d’abord reçu par un orthoptiste, puis dans un second temps par le médecin.

L’examen du fond d’œil désigne l’étude des structures anatomiques du segment postérieur de l’œil (rétine, corps vitré, nerf optique). Il nécessite une dilatation pupillaire par installation de collyres de dilatation. Il est réalisé avec ou sans verre de contact.

L’examen du fond d’œil nécessite une dilatation des pupilles. Les gouttes vous sont directement instillées lors de la consultation et agissent en une quinzaine de minutes.

Vous ne devez pas conduire après un examen de fond d’œil avec dilatation pupillaire. Prévoyez de venir en transports en commun, ou accompagné.

Pour prendre rdv pour un champ visuel, vous pouvez contacter le secrétariat au

09 70 72 34 06.

Le champ visuel est réalisé par un orthoptiste indépendant, Alexandre Caille, que vous pouvez aussi directement contacter au 06 47 62 03 30, ou bien sur doctolib.fr 


Le champ visuel peut être réalisé également à l’extérieur de la clinique.

La tomographie par cohérence optique (OCT) est une technique d’imagerie permettant l’étude des structures de l’œil. Elle est notamment réalisée dans le dépistage et le suivi de pathologies cornéennes, rétiniennes ou glaucomateuses. 

La durée de validité d’une ordonnance pour une première délivrance varie selon l’âge du patient :

  • 6 mois pour les patients âgés de moins de 16 ans,

  • 5 ans pour les patients âgés de 16 ans à 42 ans,

  • 3 ans pour les patients âgés de plus de 42 ans.

Pour le renouvellement, la durée de validité d’une ordonnance est fixée à :

  • 1 an pour pour les patients âgés de moins de 16 ans,

  • 5 ans pour les patients âgés de 16 ans à 42 ans,

  • 3 ans pour les patients âgés de plus de 42 ans.

Oui, les ophtalmologistes font partie des médecins spécialistes qui peuvent être consultés directement, sans passer par le médecin traitant. Il s’agit de l’accès direct spécifique.

En semaine, aux horaires d’ouverture du cabinet, vous pouvez appeler le secrétariat au 09 70 72 34 06, et si cela est possible, nous organiserons un rendez-vous rapide.

Un accueil d’urgences ophtalmologiques est assuré par ailleurs 24h/24 à l’Hôpital Pellegrin, CHU Bordeaux, place Amélie Raba Léon, 33000 Bordeaux.

Vous pouvez contacter le secrétariat, par téléphone ou par e-mail.

Selon la date de votre dernière consultation, si l’ordonnance est encore valide, elle vous sera transmise par e-mail. Dans le cas contraire nous vous proposerons de reprendre rendez-vous.

S’il n’y pas de fond d’œil dilaté, oui vous pouvez conduire votre voiture sans problème après la consultation.
Attention pour les suivis de diabète, ou tout problème s’apparentant à un voile d’apparition brutale, des flashs lumineux ou bien des corps flottants, il faudra faire un fond d’œil dilaté.

Les patients ayant rendez-vous pour un examen sous skiacol n’ont pas le droit de conduire dès l’installation de la première goutte et jusqu’à arrêt de l’effet du skiacol (plusieurs heures)

Dans le cadre d’un examen du fond d’œil, la conduite automobile est interdite dès lors que la dilatation à commencer et jusqu’à disparition de la dilatation. Vous devez alors être accompagnés, ou venir à pied ou en transports en commun.

Dans le cadre de rendez-vous pré opératoires, il est conseillé de venir avec une personne de confiance, qui pourra suivre les informations données par l’équipe médicale. Certains rendez-vous pré-opératoires nécessitent la réalisation d’un fond d’œil dilaté, qui interdise la conduite automobile après la dilatation pendant plusieurs heures.

Chirurgie réfractive : Pourquoi se faire opérer ?

Se passer de lunettes ou de lentilles, cela a déjà été le choix de plus de 20 millions de patients dans le monde. Quel que soit le type de trouble visuel, les myopes, hypermétropes, astigmates et presbytes peuvent avoir désormais leur vie changée.

La chirurgie réfractive est aujourd’hui une discipline ophtalmologique à part entière bien codifiée qui a bénéficié de l’essor récent des nouvelles technologies des lasers excimer et femtoseconde. Les bilans opératoires sont aussi très précis et les outils technologiques de pointe sont adaptés et spécifiques.

Aujourd’hui les résultats post opératoires sont excellents et la prédictibilité est constante. Les nouvelles techniques font l’objet de reconnaissance et de validation par toutes les sociétés savantes.

La chirurgie réfractive est une chirurgie fonctionnelle qui permet de récupérer une autonomie de vision indépendante d’une correction optique dans les activités de la vie quotidienne. Les motivations opératoires sont nombreuses et différentes pour chacun des patients.
Le but est toujours le même, celui d’une liberté dans la vision, au service d’une activité sportive, d’une activité professionnelle, de tâches quotidiennes, ou simplement pour une meilleure confiance en soi et la possibilité d’une vie plus libre.
On a l’habitude de dire que l’opération peut alors changer le cours de sa vie.

Au cours du bilan pré-opératoire, le chirurgien va cerner avec vous vos attentes et besoins et va vous proposer la meilleure solution thérapeutique possible en intégrant l’ensemble des résultats des examens pratiqués.

Pour être opérable, il faut être majeur, avoir une correction optique stabilisée et ne pas présenter de contre-indications ophtalmologiques (kératocône, cornée trop fine, maladie intercurrentes comme la cataracte, le glaucome avéré,…) ou générales (en particulier maladies inflammatoires générales pouvant toucher la cornée, telle la polyarthrite rhumatoïde), et avoir une correction accessible au laser.
Les femmes enceintes ou en cours d’allaitement ne sont pas éligibles à un traitement sur cette période.

Chirurgie réfractive : Bilan pré-opératoire

Un bilan opératoire est indispensable pour confirmer que votre trouble est opérable,

  • en vérifiant l’absence de toutes contre-indications générales ou ophtalmologiques
  • en effectuant des mesures très précises de votre correction
  • en analysant conjointement avec vous quel sera le type de solution chirurgicale la plus adaptée en adéquation avec vos troubles réfractifs et avec votre attente.

Votre chirurgien ophtalmologiste et son équipe d’orthoptistes vont effectuer un bilan clinique et paraclinique le plus exhaustif possible qui permettra de vous proposer à l’issue, la solution la plus adaptée à votre situation et à votre demande.

Une mesure très précise de nombreux paramètres est nécessaire. La détermination de la correction pourra souvent nécessiter différentes vérifications notamment après dilatation momentanée de la pupille par collyres cycloplégiques.

Les porteurs de lentilles devront cesser le port de lentilles pendant la semaine précédent le bilan afin que l’analyse de leur œil se fasse dans les meilleures conditions.

La mesure de l’épaisseur cornéenne ou pachymétrie est un temps essentiel de l’examen. En effet une cornée trop fine pourra contre indiquer une chirurgie de type femtolasik et orienter vers un traitement différent alternatif. La mesure pachymétrique peut être ultrasonore ou optique avec des appareils différents.

De nombreux examens indolores et technologiquement sophistiqués vont compléter l’analyse de l’examen clinique réalisé à la lampe à fente.

Enfin, une délivrance de l’information nécessaire à la prise de décision par le patient et notamment sur les risques complètera ce bilan.

Sur le plan administratif deux documents vous seront remis en fin de consultation :

  • un devis d’intervention que vous pourrez adresser à votre mutuelle,
  • une déclaration de consentement éclairé qui devra être signé avant l’intervention.

La topographie cornéenne est un élément clé du bilan opératoire. Cet examen est indispensable pour appréhender l’anatomie précise et la forme exacte de votre cornée qui va recevoir le traitement laser. Des représentions sous forme de cartes en couleur vous permettront de comprendre facilement les interprétations données par votre chirurgien.

  • Topographie cornéenne spéculaire :
    Pour résumer le principe d’examen, l’analyse est basée sur la projection d’anneaux lumineux concentriques sur la cornée qui permettent de mesurer les rayons de courbure de la cornée.
    Le but de l’examen est de connaître les puissances exactes des rayons de courbure, de vérifier leur régularité ou symétrie et d’éliminer la possibilité d’une pathologie sous jacente infraclinique de type kératocône.

 

  • Topographie cornéenne d’élévation : Pentacam* Orbscan*
    Basé sur le principe de caméra de Scheimpflug avec balayage par fente lumineuse rotative, ce topographe analyse les faces antérieures et postérieures de la cornée, les rayons de courbures, les coordonnées tridimensionnelles de chaque point et permet de connaître la pachymétrie cornéenne sans contact. Les représentations cartographiques précises et l’analyse précise de l’évaluation de nombreux indices sont là aussi un complément diagnostic majeur dans le dépistage des anomalies cornéennes préopératoires.En effet certaines maladies, totalement asymptomatique dans leur phase débutante comme le kératocône par exemple, représentent une contre-indication aux chirurgies par LASIK. À terme, la cornée présenterait dans ces cas un risque de modification asymétrique dans sa forme avec apparition d’une ectasie et modification de la réfraction préjudiciable pour la vision.

Enfin, ce type d’appareil permet aussi une analyse de type « scanner » du segment antérieur de l’œil avec visualisation des structures anatomiques, cornée, angle iridocornéen, iris, cristallin donnant des renseignements complémentaires indispensables dans les chirurgies alternatives au traitement cornéen type femtolasik.

  • L’aberrométrie :
    Dans certains cas, un œil peut présenter trop d’aberrations optiques dites de hauts degrés et qui peuvent alors faire l’objet d’un traitement spécifique. À l’état normal, tout œil présente des anomalies de types aberrations de haut degré car elles confèrent à l’œil humain ses caractéristiques optiques propres, notamment une profondeur de champ spécifique. Cependant si le degré d’aberrations lors de mesures à l’aberromètre est pathologique, une réduction de ces dernières peut être proposée concomitamment au traitement. Cette situation n’est cependant pas fréquente.
  • L’analyse de la diffraction cristallinienne : OQAS2
    Un examen complémentaire peut être proposé dans certains cas pour aider à confirmer la présence ou l’absence de troubles cristalliniens associés. L’Optical Quality Analyzing System permet d’appréhender à la fois les aberrations sphériques de haut degré et d’analyser la transparence des milieux oculaires.
  • La biométrie optique : IOL MASTER 700
    L’exhaustivité du bilan comporte avec cet examen une mesure non contact de la longueur axiale, de la profondeur de chambre antérieure de l’œil et de la kératométrie permettant ainsi et si besoin un calcul précis de la puissance cristallinienne substitutive exacte qui pourrait être nécessaire si une chirurgie alternative non cornéenne était proposée.
  • L’analyse par Optical Coherence Tomography :
    L’OCT spectral domain est un examen ultra précis qui donne des informations capitales sur l’état anatomique du nerf optique et de la rétine et qu’il est nécessaire de vérifier ou de quantifier dans certaines indications de chirurgie réfractive pour s’assurer de l’absence de toute pathologie préalable préjudiciable à un résultat fonctionnel post chirurgical optimal.

Conseils pratiques après une chirugie refractive (LASIK ou PKR)

Il est conseillé de suspendre le port de lentilles de contact une semaine avant le rendez vous de consultation si vous portez des lentilles souples et une dizaine de jours avant dans le cas de lentilles rigides. Cela permet une plus grande précision lors des examens topographiques qui seront effectués.

De même si vous habitez loin ou si vous vous déplacez en voiture, se faire accompagner peut être nécessaire pour faciliter et sécuriser votre retour si vos pupilles ont été dilatées lors de l’examen.

Vous serez accueillis dans le centre où l’on pourra répondre à vos dernières questions si nécessaire.
Vous serez ensuite conduits dans le sas du bloc opératoire et habillés avec une surblouse, des couvres chaussures et un calot afin de respecter des règles évidentes d’aseptie avant de pénétrer dans salle opératoire dédiée classée ISO 5.

L’anesthésie de vos yeux se fait très rapidement et simplement par l’instillation de quelques gouttes d’un collyre spécial.

Le laser femtoseconde comme le laser excimer seront pratiqués alors que vous serez confortablement allongés.

Pour un traitement de type PKR, l’intervention bilatérale dure une dizaine de minutes. La délivrance du traitement laser elle-même ne prend que quelques secondes, le reste du temps est consacré à votre installation, à la préparation du champ opératoire et des conditions de délivrance du laser. L’intervention se termine par l’instillation de collyres antibiotiques et anti-inflammatoires et par la mise en place de lentilles de contact thérapeutiques pendant 72 heures. Le traitement est indolore.

Pour une chirurgie de femtolasik bilatéral, la durée est d’environ une vingtaine de minutes. Le premier temps consiste en une prédécoupe du volet cornéen et comporte seulement 15 secondes de laser par œil mais une installation rigoureuse et une préparation minutieuse prennent moins d’une dizaine de minutes ; le second temps de l’opération consiste ensuite à soulever le capot dans des conditions d’aseptie optimales et de réaliser le laser excimer ablatif. L’intervention se termine par la remise en place et le lissage du capot puis par l’instillation de collyres antibiotiques et anti-inflammatoires.
Le traitement est indolore. Une sensation de pression sur l’œil est normale lors de la mise en place des conditions de délivrance du laser femto seconde ; le blanc de l’œil peut être rouge en fin d’intervention.

Des lunettes teintées de protection vous sont offertes à votre sortie.

Vous serez bien entendu conscients pendant l’intervention et nous vous demanderons de regarder des petites lumières, dites mires de fixation, et qui nous aident à vérifier le bon centrage de votre traitement.

  • Il est capital de ne pas se frotter les yeux après l’opération par femtolasik et les jours suivants car un risque de déplacement du capot serait préjudiciable au résultat.
  • L’instillation de collyres est nécessaire les premiers jours, anti-inflammatoires, antibiotiques, larmes artificielles.
  • Les traumatismes oculaires doivent être exclus sous peine de risque de déplacement du capot de lasik (sports collectifs, sports de combat…)
  • Le maquillage sera repris avec précautions les semaines suivantes.
  • La plongée et les bains en piscine sont déconseillés pendant 4 à 6 semaines.

  • Pour une chirurgie femtolasik :
    Selon l’importance de votre défaut visuel initial la récupération visuelle est plus ou moins rapide mais en général, elle se fait en quelques heures. Dès le lendemain votre acuité vous permet dans la plupart du temps une reprise de la conduite automobile.
  • Pour une chirurgie de PKR
    Selon l’importance de votre défaut initial, la vision est floue plusieurs jours, s’améliore progressivement, les douleurs cessent à 48 heures et la reprise de la conduite peut être envisagée dès que la vision est suffisante après 4 à 6 jours environ.

  • Pour une chirurgie femtolasik :
    Les suites opératoires sont très simples en général ; une rougeur conjonctivale est banale et liée à la pression mécanique du système d’aplanation du laser femtoseconde et qui a été maintenu sur votre œil par une succion. L’impression de « sable » dans l’œil ou de « corps » étranger est fréquente les premières heures ainsi que la sensation d’avoir les yeux secs.
  • Pour une chirurgie de PKR :
    Pendant les 48 premières heures la vision est très floue et les yeux sont douloureux. Une lentille thérapeutique, mise en place en fin d’intervention, diminue les douleurs et des antalgiques sont parfois nécessaires les premières heures. Les douleurs s’estompent avec la réepithélialisation de la cornée qui nécessite 48 à 72 heures. La vision reste floue, les lentilles sont otées au contrôle du troisième jour et l’acuité visuelle remonte alors progressivement.

Chirurgie réfractive : Financement

Pourquoi un tel coût ?

Le coût d’une opération de chirurgie réfractive résulte de l’association d’un forfait technique, permettant de couvrir les différents frais du centre, et des honoraires du chirurgien.

Les coûts des lasers et des appareils de haute technologie de bilan et diagnostic est très élevé. Les maintenances et les « upgrades » permanents nécessaires et garants de leur précision et de leur fiabilité et de leur sécurité sont aussi particulièrement onéreux.

Les mutuelles prennent souvent en charge une partie plus ou moins importante du coût de l’opération. À cette fin, nous vous remettons un devis le jour de votre consultation.

IVT

lle a lieu dans une salle dédiée, avec des règles strictes d’asepsie, au rez de chaussée de la clinique.

Des règles d’hygiène strictes sont respectées.

Les patients doivent revêtir une combinaison (à mettre par-dessus les vêtements), des sur-chaussures et un bonnet, ainsi qu’un éventuel masque chirurgical, fournis par la clinique.

En parallèle, des gouttes anesthésiantes sont instillées par l’équipe.

L’injection se fait en position allongée. 

Une fois le patient installé, l’anesthésie est complétée, l’ophtalmologiste réalise la désinfection de l’œil et des paupières. Il place ensuite un champ stérile sur votre visage, puis un écarteur pour maintenir les paupières. 

Il injecte ensuite le produit directement dans l’œil.

Après l’injection, l’œil est rincé avec du sérum physiologique et un produit antiseptique est instillé pour finir.

– Avant : Pensez à aller chercher votre produit avant le jour de l’injection en pharmacie, avec l’ordonnance de votre ophtalmologiste. `

Il se conserve au frais, et doit donc être amené dans un sac isotherme fourni par la pharmacie.

Attention seule la boîte doit être mise au frais.

Le jour J, venez sans maquillage.

Les porteurs d’appareils auditifs devront enlever avant l’injection celui du coté de l’œil injecté.

– Pendant : Respectez les consignes données par l’équipe médicale, afin de respecter les règles d’asepsie. Au moment de l’injection, respirez profondément, l’ophtalmologiste et son équipe qui vous guideront. L’injection est très rapide.

– Après : Dans les 2h qui suivent l’IVT il est strictement interdit de toucher votre œil. 

Des gouttes vous sont prescrites afin de limiter la sensation de brûlure qui peut suivre.

A la moindre question, contactez le secrétariat.

Il faut penser à venir avec votre injection, la carte vitale et un moyen de règlement. 

Non, il n’y a pas d’indication à venir à jeun le jour de l’injection.

IPL

Le traitement par IPL est indiqué dans certains cas de sécheresse oculaire. Il va agir directement sur les glandes de meibomius qui ont pour rôle de fournir un apport lipidique aux larmes et ainsi ralentir leur évaporation.

Le but est d’améliorer le fonctionnement des glandes de meibomius et de réduire l’inflammation. Il est particulièrement indiqué dans les cas de rosacée oculaire, et parfois de chalazion. 

L’objectif de ces séances est de diminuer franchement les symptômes de sécheresse oculaire, et selon les patients, de diminuer la dépendance aux larmes artificielles.

Le protocole de soin est entièrement personnalisé et est établi par l’ophtalmologiste lors d’une consultation spécialisée, généralement nous programmons 3 séances espacées d’un mois. 

La séance dure une vingtaine de minutes et se déroule en 2 phases : 

  • La 1ère consiste à effectuer différents flashs de lumière pulsée intense à des endroits précis. 
  • La 2ème consiste à appliquer un masque sur le visage qui va dégager une chaleur continue et compléter la stimulation des glandes.

Le jour de la séance d’IPL venez sans produit cosmétique (maquillage et également crème hydratante). 

Il faut éviter l’exposition aux UV les jours qui suivent l’IPL ou sinon utiliser une protection solaire. 

Chirurgie de cataracte

La durée varie d’un patient à un autre, selon le type d’anesthésie réalisée, selon la sévérité de la cataracte également. Globalement l’acte chirurgical en lui-même dure entre 15 et 45 minutes environ.

Dans la majorité des cas, il s’agit d’une anesthésie locale renforcée.

Certaines chirurgies peuvent être réalisées sous anesthésie générale ou loco-régionale (ALR péribulbaire), après discussion avec le médecin ophtalmologiste, le médecin anesthésiste et le patient.

La réponse est non, il faut espacer au minimum d’une semaine l’intervention entre les 2 yeux.

La vitesse de récupération est variable selon les patients.

Si vous avez été opéré, et que vous avez la moindre question, n’hésitez pas à contacter le secrétariat. 

Les anesthésistes se trouvent au 2ème étage de la clinique, à gauche en sortant des ascenseurs. Il n’y a pas de secrétariat, il faut simplement vous asseoir en salle d’attente, et le médecin viendra vous chercher.

Lentilles

Pour les adaptations de lentilles au sein de la clinique, vous devez dans un premier temps être examiné par un ophtalmologiste lors d’une consultation classique. En effet, le médecin doit notamment vérifier l’état de votre cornée.

A l’issue de cette première consultation, en l’absence de contre-indication, le secrétariat vous remettra un devis avec le forfait adaptation qui vous correspond. Les adaptations sont réalisées à la clinique par notre contactologue, Valérie Loyer. Cette adaptation donne lieu à plusieurs rendez-vous.

Sauf demande directe de la part de l’équipe médicale, nous devons vous examiner SANS lentilles.
Pour les porteurs de lentilles souples, vous devez les retirer la veille du rendez-vous. Les lentilles laissent une empreinte sur la cornée qui peut fausser les mesures réfractives.  

Pour les porteurs de lentilles rigides, l’empreinte résiduelle est plus importante et pour avoir un examen fiable, il faut retirer les lentilles au moins 48h avant le rendez-vous.

Vous pourrez remettre vos lentilles à l’issue de la consultation.


Pensez à toujours venir avec les références de vos lentilles (la marque et la puissance) et le nom de votre produit d’entretien le cas échéant.

Laser

Pour la réalisation du laser, la pupille devra être dilatée.

La dilatation peut être réalisée directement au cabinet, ou débuter juste avant le rendez vous selon les consignes données par votre ophtalmologiste.

Vous ne devez pas conduire une fois que la dilatationa commencé et après le laser. Nous vous conseillez de venir accompagné, ou en transports en commun.

Votre ophtalmologiste vous prescrira un traitement à mettre pendant les 7jours suivant le laser.

L’iridotomie périphérique est indiquée dans le cas d’un angle irido-cornéen étroit. L’iridotomie consiste à réaliser un trou dans l’iris afin de faciliter le passage de l’humeur aqueuse. 

Le laser est réalisé en consultation, des gouttes seront mises à votre arrivée (pilocarpine). La pilocarpine peut induire un léger flou et parfois des maux de tête, ces effets secondaires sont assez rares mais par précaution nous vous conseillons de ne pas conduire juste après le laser. 

Des gouttes seront à mettre les jours qui suivent le laser.

Un contrôle est à prévoir quelques semaines après (entre 2 et 4 semaines généralement) 

Le laser SLT a pour but de diminuer la tension intra oculaire pour les patients atteints de glaucome ou d’une hypertonie oculaire isolée.

Le laser a lieu directement aux consultations et nécessite l’instillation de gouttes (pilocarpine). La pilocarpine peut induire un léger flou et parfois des maux de tête, ces effets secondaires sont assez rares mais par précaution nous vous conseillons de ne pas conduire juste après le laser. 

Des gouttes, prescrites par votre médecin, seront à mettre les 7 jours qui suivent le laser.

Un contrôle de la tension intra oculaire est à prévoir quelques semaines après.

Le laser rétinien dans le cadre d’un diabète a pour but d’améliorer l’oxygénation des tissus. Certaines formes de rétinopathie diabétique peuvent entraîner l’apparition de vaisseaux anormaux sur la rétine. Ils peuvent provoquer des complications telles que des hémorragies ou des décollements de rétine. Le laser a pour but de cautériser ces vaisseaux anormaux et ainsi d’éviter les complications néovasculaires qui peuvent survenir. 

Pour la réalisation du laser, la pupille devra être dilatée.

Vous ne devrez pas conduire après ce laser. Prévoyez de venir en transports en commun ou de venir accompagné.